On a tous connu les planches que les anciens jetaient entre les rangs du potager pour se déplacer. Le nom est d’ailleurs resté pour désigner une longueur. Mais ces planches ne sont pas toujours stables, surtout si on se déplace avec une brouette. Alors les plus ingénieux prévoient des « passe-pied » qui puissent être assez larges et assez solides. Au hasard de nos ballades jardinières, nous avons apprécié toutes sortes de passe-pied. Les parties supérieures des palettes posées simplement sur le sol permettent déjà à la roue de la brouette de ne pas s’enfoncer dans la terre rendue boueuse après une averse. Le passe-pied en pierre semble plus durable mais il peut se couvrir assez vite de terre. Il faut donc surélever chaque pierre en ménageant une assise en sable pour une bonne stabilité. Enfin, certains combinent efficacité et esthétique. C’est le cas avec ce joli passe-pied en petits briques. Là aussi, on a creusé une légère fosse, damé le sol puis apporté du sable avant de poser et ancrer les briques.
Le panais
Curieusement, on retrouve plus souvent ce légume sur les étals des marchés que dans les potagers. Pourtant, il est facile à cultiver et très apprécié des gourmets. A votre tour, essayez le panais en vous lançant dès février.
Vive l’hiver, belle saison où le panais est présent dans nos cuisines et sur les étals de nos marchés. Ce légume constitue une savoureuse alternative aux navets, carottes et autres légumes de saison. Facile à cultiver, simple à récolter et délicieux sur la table en version crue ou cuite, salée ou sucrée, voici l’occasion de s’ouvrir à des saveurs anciennes et qui reviennent sur le devant de la scène. Le panais (Pastinaca sativa) est originaire du bassin méditerranéen. Il était déjà bien connu des Grecs et des Romains. Aliment de base au Moyen-âge, le panais fut éclipsé par l’arrivée de la pomme de terre. Mais fort heureusement, avec le regain d’intérêt pour les légumes oubliés, le panais est à nouveau cultivé et apprécié pour ses qualités réelles d’aliment-santé.
Il faut bien préparer
la terre avant de semer
Le semis de panais s’effectue de février à juin, mais doit être commencé
sous abri tant que subsiste encore des risques de gelées. Une fois le spectre
de gel écarté, on peut semer directement en place. Le semis en terre doit se
faire dans un sol très léger ou consistant mais allégé avec du sable. Notez qu’il
est conseillé de faire tremper les graines deux ou trois heures avant de les
semer pour les « réveiller ». Cela permet d’obtenir une levée plus stable
et plus rapide.
En février et même en mars, il faut couvrir votre semis avec un voile d’hivernage
ou mettre en place un tunnel. Pour s’épanouir, le panais préfère les terres
profondes, plutôt fraîches et riches. N’hésitez pas à améliorer votre sol en
enfouissant à l’automne un fumier bien décomposé. Si vous ne l’avez pas fait,
apportez un compost deux à trois semaines avant le semis et brassez bien en
profondeur en passant le motoculteur. Si vous ne disposez pas de ce type de
machine, brassez à la fourche bêche pour ameublir le sol sur 20 à 30 cm.
Finissez en ratissant bien afin d’éviter les racines fourchues ou déformées.
Ensuite, vous pouvez tirer des traits (ou sillons) d’environ 1 cm de
profondeur. Espacez chaque trait d’une trentaine de centimètres. Si votre terre
est naturellement lourde et même si vous l’avez allégée avec du sable, il est
plus prudent de monter des billons (rangs surélevés sur lesquels on sème) qui
favoriseront l’écoulement des eaux de pluie. La levée proprement dite prend
entre 12 et 15 jours selon la température de la terre. Puis, lorsque les pousses
seront suffisantes, vous devrez éclaircir à 15 cm.
Des bons amis et des moins bons voisins
Afin d’améliorer la récolte et la qualité même de vos panais, vous pouvez essayer de soigner le voisinage que vous leur réservez.
Attention, au potager, le panais aime particulièrement la proximité des choux, des radis, des oignons, des haricots et des fèves, mais aussi des salsifis. D’ailleurs, panais et salsifis se sèment en même temps et ont une durée de culture similaire.
A l’inverse, il redoute la présence trop proche des laitues et surtout des fenouils.
Entretien simple mais utile
Le panais ne réclame pratiquement aucun entretien. Comme pour toutes les cultures, vous devrez simplement sarcler et biner de temps en temps pour aérer la terre. C’est l’occasion aussi de faire un désherbage régulier. Les besoins du panais en eau sont assez importants. Il est donc nécessaire d’arroser avec régularité tout au long de l’été pour garder le sol juste frais mais aussi de se méfier des sécheresses de printemps. Attention, arrosez au goulot (arrosoir sans pomme) doucement et sans mouiller les feuilles.
Une rotation
nécessaire
Evitez de cultiver le panais au même endroit que l’année précédente. Nous vous
conseillons de laisser passer au moins trois ans (voire quatre). Une bonne rotation
des cultures permet de ne pas vider la terre des mêmes éléments nutritifs et
réduit les risques de parasites. L’idéal est de semer les panais sur une planche
ayant été occupée la saison précédente par des légumes fruits comme les tomates
ou les aubergines. Le panais, légume racine, plongera plus en profondeur pour
trouver les éléments nutritifs qui lui sont nécessaires tout en aérant la
terre.
La récolte et le stockage
La production moyenne du panais est d’environ 6 à 8 racines par mètre linéaire. La récolte s’effectue environ 4 à 5 mois après le semis. En étalant les semis de févier à mai, on peut donc étaler les récoltes de juin à octobre et même fin novembre. Pour ce qui est de l’arrachage, soyez prudent en plongeant la fourche-bêche à 20 cm du plant pour ne pas blesser les racines. Notez que les panais résistent bien au froid et qu’ils peuvent donc passer une bonne partie de l’hiver en terre. Ils stoppent alors leur maturation et peuvent être récoltés au fur et à mesure de vos besoins. Certains prétendent même que le gel apporte de la douceur au panais…
Comme la plupart des légumes racines, les panais sont faciles à conserver, aussi bien en terre qu’une fois récoltés. On peut les stocker dans des cagettes, au frais, à l’abri de la lumière, dans un lieu sec et aéré. L’idéal est de les mélanger avec du sable, ce qui améliore encore les conditions de conservation.
D’excellentes propriétés nutritionnelles
Le panais est une bonne source de fibres, il est également riche en minéraux (manganèse, phosphore, magnésium, potassium…). Pour en profiter au maximum, le mieux est de le consommer cru (par exemple râpé en salade). C’est délicieux.
Ce légume est aussi riche en vitamine B9, laquelle participe à la fabrication des cellules du corps et des globules rouges. Il affiche aussi une belle teneur en vitamine C et en vitamine E qui est un antioxydant majeur.
Attention toutefois à sa teneur en glucides, que les personnes diabétiques ou hypoglycémiques doivent considérer. Pour 100 g de panais cru, on compte 1,4 g de protides, 1,6 g de glucides et 0,5 g de lipides.
Régalez-vous !
François Willemin
Faire un potager surélevé
On a déjà vu des astucieux élaborer des assemblages de palettes plus ou moins stables et pas très solides. Aujourd’hui, nous vous proposons de faire vous-même un potager surélevé durable et surtout à vos justes mesures.
Que la terre est basse !
En partant de ce constat, certains ont eu l’idée d’en élever une petite surface afin qu’elle devienne plus facilement accessible. Une aubaine pour beaucoup d’entre nous, surtout pour les personnes à mobilité réduite, ou celles souffrant d’un mal de dos chronique. De plus, le potager surélevé présente l’avantage d’être protégé des visiteurs indélicats comme les lapins, les taupes, mais aussi parfois les chiens. Bien qu’il existe déjà des modèles tout faits dans le commerce, faire soi-même son potager surélevé représente bien évidemment une économie. C’est aussi l’occasion de construire une version totalement adaptée à vos besoins et à vos envies, tant d’un point de vue esthétique que pratique et surtout avec des dimensions correspondant à l’espace disponible. Dans cet article, nous n’évoquerons que les équipements en bois, mais d’autres matériaux sont tout à fait envisageables.
La version classique
Le plus simple consiste en un carré, ou un rectangle, composé de petites poutres verticales qui servent à la fois d’angles et de pieds sur lesquelles on vient fixer horizontalement des planches de façon à créer le pourtour. Vous démarrerez le fond du « potager » en calculant qu’il vous faut au moins 35 cm de terre pour votre culture. La hauteur doit évidemment être adaptée à l’utilisateur, si la personne travaille debout ou plus souvent assise, voire si elle est en fauteuil roulant.
Les bons matériaux
Pour les poutres, utilisez 4 chevrons dans un bois prévu pour l’extérieur et de section 100 x 100 mm (longueur environ 1,20 m) ou 8 chevrons de 50 x 100 mm (comme sur les photos). Prenez aussi des tasseaux de 25 x 25 mm pour servir de lien aux planches si la longueur de votre « potager » dépasse 2 mètres.
Pour les planches, la bonne épaisseur est de 25 à 30 mm. Le bois est de bonne qualité, naturellement imputrescible ou traité à haute température, ou même traité autoclave (sachez que c’est un traitement chimique) mais normalement la terre ne doit jamais être en contact avec le bois. Surtout ne prenez jamais de bois aggloméré qui gonfle, se déforme, puis se détruit à l’humidité.
Pour la visserie, prenez des vis à bois de 5 x 75 ou 6 x 80 mm.
Pour la toile de plantation, prenez un morceau qui soit légèrement supérieur à la surface de votre « potager ». Vous pouvez également opter pour une bâche imperméable dont les dimensions sont équivalentes à un peu plus de la surface du pourtour de votre « potager ».
Pour l’outillage, il faut disposer d’une perceuse, d’une visseuse ou un tournevis, d’une scie circulaire ou à défaut d’une scie manuelle, d’une agrafeuse murale, d’un marteau, d’un mètre et éventuellement d’une équerre de menuisier.
La construction
La longueur des chevrons déterminera la hauteur finale de votre potager. C’est à vous de la définir en fonction de ce que vous souhaitez. On compte généralement 110 à 120 cm (comme pour des meubles de cuisine). Coupez les planches à la longueur voulue et vissez-les aux quatre chevrons. Utilisez l’équerre de menuisier pour vous assurer que les coins sont bien perpendiculaires. Si vous n’utilisez pas des vis auto-taraudeuses, il est préférable de pré-percer les trous dans les planches afin d’éviter que les vis ne cassent lors du vissage. Pour renforcer la stabilité de l’ensemble, des planches peuvent relier les pieds deux à deux à mi-hauteur.
Il faut une caisse solide
Par définition, un potager surélevé est bien hors sol. Il faut donc prévoir la construction du fond. Celui-ci devra évidemment être assez solide pour supporter le poids de la terre. Vous pouvez fabriquer un fond avec des planches en bois en les vissant directement sur les planches du contour ou sur une baguette fixée contre le bas des planches du pourtour. Le but est de créer un support sur lequel les planches du fond reposeront. Attention, ces planches ne doivent pas être trop serrées entre elles. Il faut prévoir des petits espacements pour que l’eau puisse s’écouler. Sur ce fond, vous placerez une toile de plantation perméable pour éviter que la terre ne s’échappe par les interstices. Laissez remonter cette toile contre le bord de la caisse du potager. Cela évitera à la terre d’être en contact direct avec les produits chimiques utilisés pour traiter le bois et ça protègera le bois lui-même. De temps en temps, pensez à surveiller l’état des planches du fond, car le bois a beau avoir été traité pour l’extérieur, l’humidité constante risque de le dégrader. Pour prévenir ce danger, vous pouvez remplacer la toile de plantation du fond par une bâche imperméable, mais dans ce cas, il faudra faire des trous dans la bâche au niveau des interstices, pour permettre à l’eau de s’écouler. Quelle que soit la solution choisie, souvenez-vous qu’en aucun cas les toiles de protection ne doivent empêcher l’eau de s’écouler.
Si vous tenez absolument à cultiver des légumes racines comme les carottes ou les betteraves, vous devrez prévoir une profondeur en conséquence. Mais rappelons que ce genre de potager surélevé est avant tout destiné à la culture de légumes feuilles et fruits. Une fois le travail terminé, il ne reste plus qu’à remplir la caisse de ce potager avec une bonne terre végétale mélangée à du compost.
Le potager mobile
A condition que votre potager surélevé ne soit pas trop imposant et que vous souhaitiez l’installer sur un grand balcon ou sur une terrasse, vous pouvez prévoir l’installation de roulettes qui permettront de le déplacer facilement. Attention, une fois rempli de terre, votre potager pèsera lourd. Choisissez donc les roues en conséquence.
Des formes originales
Comme nous venons de le voir, les potagers surélevés sont la plupart du temps carrés ou rectangulaires. Ceci dit, rien ne vous empêche de créer des formes plus personnalisées, afin d’optimiser votre espace ou de laisser libre cours à vos talents artistiques. En forme de L, de U ou plus complexes encore, le principe de base de construction expliqué juste avant reste valable. Il faut juste adapter les dimensions des éléments à la forme que vous souhaitez créer. Nous vous avons montré un système de construction simple, avec des planches. Vous pouvez également exécuter de belles réalisations en utilisant des poutres ou des rondins de bois. Dans ces cas, le principe reste le même mais la réalisation est un peu plus compliquée.
L’option serre à semis
Vous aurez probablement besoin de les protéger en créant une petite serre tunnel. Il suffit, lors de la construction, d’inclure des morceaux de tubes PVC, à la verticale de part et d’autre des deux plus grands côtés. Vous insérez ensuite dedans d’autres tubes souples afin de créer l’armature et vous n’avez plus qu’à disposer dessus une toile adaptée. C’est très pratique, car vous pouvez mettre cela en place au début du printemps puis le retirer quand les risques de gel sont définitivement passés.
François Willemin
Aubergines : gestes utiles
On sait qu’il faut aux aubergines un sol riche et beaucoup de soleil. Mais ça ne suffit pas : il faut aussi un arrosage régulier, tous les trois jours, sans mouiller le feuillage.
On peut apporter un purin de consoude un arrosage sur trois en juillet. Riche en potasse, il favorise la formation des fruits.
Ensuite, il faut pailler pour garder le sol frais, mais aussi pour bloquer les limaces. Elles adorent les jeunes fruits qu’elles dévorent avant que vous ne puissiez les récolter.
Enfin, on doit pincer les tiges des plants au-dessus du second bouquet de fleurs pour éviter qu’elles montent exagérément. On en profite, en cours d’été, pour supprimer les feuilles les plus basses afin qu’elles ne touchent pas le sol.
En + : on peut marier les aubergines avec les tomates et les pois.
Artichaut : plantez les oeilletons
Quand on plante les asperges, on pense aux artichauts. Ces deux légumes sont des vivaces qui donnent sur plusieurs années. Il faut donc les renouveler. Et le début du printemps est une bonne période car au pied des souches installées, on voit surgir des jeunes rejets. Ils sont souvent appelés œilletons. On les détache du pied mère avec un bon couteau quitte à prélever un talon directement sur la souche mère. On les replante aussitôt dans une terre fertile et drainante. Fertile ou même très fertile car les artichauts sont des gourmands. Apportez une bonne fumure bien décomposée. Surtout, ne prenez pas d’engrais qui fragiliseraient les plants au lieu de les renforcer. Ils seraient encore plus sensibles aux invasions de pucerons noirs qui les colonisent en juin et juillet. On repique les œilletons souvent par deux, au soleil, en leur laissant assez de place autour pour qu’ils puissent former un large bouquet.
‘Vert de Laon’ et ‘Vert Globe’ sont des variétés rustiques. ‘Imperial Star’ a des grosses têtes très tôt.
Le concombre-citron
Il a la couleur d’un citron, la forme d’une balle et la saveur douce d’un concombre. Ce n’est pas un nouvel hybride mais une variété ancienne, oubliée et qui mérite largement d’être à nouveau cultivée.
Amusant bien sûr, mais pas seulement. Ce drôle de concombre est aussi savoureux et même pratique. Pourtant, avec toutes ces qualités, cette variété ancienne reste très peu connue.
Un véritable concombre
Ce concombre, petite boule totalement sphérique de la taille d’un citron (8 à 10 cm de diamètre), jaune comme un citron, est bel et bien un concombre (Cucumis sativus). Sa chair blanche est croquante. La saveur est douce, sans amertume si on récolte le fruit pas trop tard. Le feuillage est identique aux feuilles d’une variété de concombre classique en étant tout de même un peu moins encombrant, ce qui est appréciable. Quant à la culture, elle est globalement la même que la culture de n’importe quel concombre.
Un semis en mai pour une récolte en août
Gérard, à Guérande en Loire Atlantique, a pour habitude de faire le semis en barquette dans le courant du mois de mai. Il garde sous serre froide et attend juin pour repiquer en pleine terre sur une parcelle qui a été correctement amendée au printemps. Pour Gérard, cela veut dire l’apport en sortie d’hiver d’un bon fumier de cheval « mûri » durant presque un an. Comme toutes les courges, le concombre est une plante gourmande qui a besoin d’une bonne couche de matières organiques. Attention, certains préfèrent anticiper en faisant le semis en avril. Or, c’est inutile car cette variété est naturellement tardive. Il faut attendre la mi-août (quand l’été est beau) pour commencer à récolter les premiers fruits. On peut aussi semer directement en place fin mai ou début juin, si possible juste après la pleine lune, en faisant des poquets de trois à quatre graines. Comptez normalement une semaine pour que la levée intervienne.
On peut le palisser
Que vous semiez en barquette avec un repiquage à suivre ou que vous semiez en place, pensez à installer juste à côté un grand tuteur à tomates ou tendez un grillage le long du rang. En effet, ce concombre est très facile à palisser compte tenu de son feuillage limité et de ses fruits assez compacts, donc légers. Ça prend peut de place au sol. Les fruits ne sont pas en contact direct avec la terre donc sans risque de pourrissement en cas de pluie ou de rosée matinale excessive. Ça peut faciliter l’exposition au soleil (la plante a besoin de six heures d’ensoleillement par jour). Et ça réduit sensiblement les menaces qui peuvent peser sur cette culture.
Gare au mildiou et aux rats
Rassurez-vous tout de même car ces menaces ne sont pas nombreuses. Il y a surtout le mildiou mais qu’on prévient avec une terre riche, un bon ensoleillement qui varie d’une année à l’autre, et de l’air (d’où l’intérêt de palisser). On réduit aussi les risques avec un purin d’ortie dilué dans les arrosages en début de culture (juin et début juillet). Et on enraye dès les premiers symptômes avec une bouillie bordelaise.
L’autre menace vient des rats et autres mulots qui peuvent roder dans le jardin. La seule vraie bonne solution est encore de ceinturer le potager (ou le carré) d’un grillage profondément enterré.
Pour des graines fiables
Evidemment, en fin de récolte, vous penserez à conserver des graines pour disposer de semences l’année prochaine. Mais gare aux hybridations incontrôlées très fréquentes avec les cucurbitacées. Si vous avez plusieurs cultures au potager, il est plus sage (au moins au début) d’utiliser des graines de semenciers professionnels.
Walter Brousse
Château de la Bourdaisière (37)
A voir :
– le parc du château avec une collection de cèdres, séquoias, chênes, châtaigniers.
– le Conservatoire national de la tomate (avec plus de 650 variétés)
– le potager et ses 150 variétés de légumes
– les jardins
– le dalhiacolor
– le verger
– …
Château de la Bourdaisière
25 rue de La Bourdaisière
37270 Montlouis sur Loire
Tél : +33(0)2 47 45 16 31
Email : contact@chateaulabourdaisiere.com
www.labourdaisiere.com
Chiens tenus en laisse acceptés.